Le GIEC poursuit impertubablement dans le "réchauffisme" délétèrePhilippe Brindet10 juillet 2010 |
||
Imperturbable, le GIEC travaille sur son prochain Cinquième Rapport, dit AR5. Il annonce dans sa page d'accueil : Une chose particulièrement intéressante tient à cette absence de mise en cause du GIEC. Alors qu'un mouvement mondial conteste la validité de la thèse "réchauffiste", quand de nombreuses affaires montrent que les "réchauffistes" se comportent comme des activistes qui tentent de parvenir au pouvoir sans aucun scrupule, quand le "réchauffisme" est lui-même terriblement douteux puisque la chaleur n'est absolument pas évidente si on excepte quelques rares périodes plus chaudes et seulement dans certaines régions, comment le GIEC peut-il annoncer un rapport AR5 dont il promet qu'il sera encore plus "réchauffiste" que le précédent "puisque le monde n'a rien compris lors de Copenhague" ! Pendant ce temps, les débats sur l'erreur du "réchauffisme" sont complètement neutralisés par des affaires para-légales, emmenées de manière tactique par les "réchauffistes" dans les méandres de la justice privée et stipendiée. Aurait-on pu faire autrement, nous autres réalistes et autres sceptiques ? Réponse : non. Explication possible : alors que le "réchauffisme" peut se baser sur un establishment de plus de cinquante ans d'âge, fourni par les universités américaines et les organismes affidé à l'ONU. Les réalistes ne disposent d'aucun pouvoir, d'aucun moyen et leurs organisations sont faibles et moribondes. Mais, il faut souligner deux choses, sans relâche.
Il faut se souvenir que le "réchauffisme" a été promu par le gouvernement Thatcher qui a dû y percevoir une possibilité d'affaiblir l'Europe en manipulant les stupides écolo-politiques. Mais, le gouvernement Thatcher a été lui-même manipulé par un groupe d'universitaires issu des clubs américains liés aux pouvoirs gauchistes des universités américaines qui avaient perçu, dès les années 1970, la puissance globalisante d'un problème climatique, perçu par tous comme un problème commun. Après une administration américaine "Bush" qui, en application de son idéologie réactionnaire, avait résisté autant qu'elle avait pu contre les menées gauchistes des "réchauffistes", l'équipe "Obama" est clairement salariée de la mouvance gauchiste. Il n'y a qu'à examiner la dernière nomination de Obama à la Cour Suprême des Etats-Unis, Eleanore Kagan, ancienne conseillère dans l'équipe du gauchiste Président Clinton, elle-même membre de l'extrême-gauche new-yorkaise et qui a fait toute sa carrière avec l'appui marqué des cercles gauchistes. Parmi les autres Etats en flèche sur la question du "réchauffement anthropique", on note deux Etats puissants récents : la Chine et l'Inde. Or, leur attitude à la Conférence de Copenhague, parfaitement scandaleuse au demeurant, puisqu'elle prenait le public pour une collection d'idiots qui ne protestaient pas alors qu'ils avaient la preuve de l'inanité d'un prétendu "réchauffement climatique", et à qui les activistes gauchistes servaient ad nauseam un discours larmoyant avec éclats de voix tremblotantes sur les dangers auxquels l'humanité s'exposait inconsidéremment, qui gobaient tout et n'importe quoi. Eh bien, l'Inde et la Chine démontrent qu'elles ont perçu tout l'avantage que l'on peut tirer du "réchauffisme" pour manipuler les opinions, faire pression sur les Etats et les pousser, particulièrement les Occidentaux affaiblis par une décadence générale, à nous charger d'un handicap supplémentaire. Pour revenir aux avatars des justices "privées", il faut souligner que, jusqu'à présent, une seule commission d'enquête pourrait avoir une couleur d'independance : la Commission des Technologies du Parlement britannique qui a rendu un rapport favorable aux menées "réchauffistes". Les autres sont salariées par les Universités de East Anglia ou Penn State. Elles n'ont aucun caractère d'ndépendance et l'ont démontré en contournant systématiquement toutes les questions qui auraient pu conduire à critiquer la conduite des organisations "réchauffistes". Plus encore, plusieurs de ces Commissions avaient des membres qui avaient des intérêts ou représentaient des intérêts susceptibles d'orienter les enquêtes de ces Commissions. Et selon les meilleurs observateurs, comme le canadien McIntyre sur le site ClimateAudit, ces enquêtes ont été sciemment orientées. Ainsi une commission enquêtant sur le CRU Gate, n'aurait même pas interrogé les principaux membres de cet Institut universitaire. Ces mêmes commissions avanient pour membres d'anciens salariés de cet Institut. La nomination des 830 "experts hautement qualifiés" n'est, de la part du GIEC, absolument pas de nature à calmer nos inquiétudes. Parmi les auteurs "nominés" à cet honneur, on peut citer : Working Group I Contribution to the IPCC Fifth Assessment ReportSeize français sont donc listés dans le Groupe WG1. Masson-Delmotte et Jouzel sont parmi les "réchauffistes" les plus toxiques. Le système se reproduit et ne change pas. Mais pourquoi changer une "équipe qui gagne" ? On ne peut pas avoir un Domenech partout ! Notes |