Le "consensus unanime". De Fukushima au réchauffement climatique

Le "consensus unanime". De Fukushima au réchauffement climatique

Philippe Brindet - 10 mars 2012

Le désastre de Fukishima a été rendu possible par un consensus unanime

Nous connaissions la critique basée sur l'analyse des plans d'implantation géologique de l'usine : pour éviter les frais de pompage d'eau de mer, le constructeur de la centrale de Fukishima a fait araser la falaise sur laquelle la centrale aurait dû se trouver. La centrale qui aurait pu se trouver à 34 mètres au-dessus du niveau de la mer, s'est trouvée ainsi à la merci, non seulement d'un raz de marée, mais de marées un peu fortes de 10 mètres seulement (rare cependant ...). Nous ignorons si le tremblement de terre qui a précédé le tsunami de 2011 aurait été destructeur de cette falaise. Mais il est clair que le raz de marée n'aurait pu faire les ravages qu'il a fait en 2011.

Dans un article du 9 mars 2012, paru dans Le Figaro, sous la plume experte de Marc Mennessier, excellent journaliste qui ne s'en laisse pas compter, on apprend que Fukushima, la centrale n'aurait jamais dû être inondée. Mennessier ne se fonde pas sur l'article du Japan Times précité, mais sur une étude récente demandée par l'Académie des Sciences française à l'IGP sur le désastre de Fukushima. Cette étude produit des chiffres légèremen différents de celle du Japan Times :

  1. Le haut de la falaise se trouvait au-dessus de 40 ètres au dessus de l'eau ;
  2. l'embase des quatre réacteurs est à 7,5 mètres au-dessus de l'eau.
Mennessier confirme que la raison de l'arasement de la falaise est bien celle de l'économie de pompage d'eau de mer. Mais, chose suggestive, le chercheur auteur de l'étude, Armando Armijo indique que :
... la survenue d'un événement extrême comme celui du 11 mars a été sous-évaluée par les sismologues japonais et par un consensus scientifique international, selon lequel les séismes dans cette région du Japon ne devaient pas dépasser une magnitude de 7,5, ...
On voit donc ici la constitution d'un consensus unanime sans lequel le désastre ne pouvait se mettre en place.

Le consensus unanime a été poursuivi de manière systématique jusqu'au désastre

Dans un article passionnant du New York Times, Nuclear Disaster in Japan Was Avoidable, Critics Contend, Martin Fackler pense que le désastre nucléaire de Fukishima était évitable, d'après des critiques émises au Japon même.

Fackler ne reprend pas la critique sur la construction de la centrale qu'il semble ignorer. Mais il décrit les alertes véhémentes et ultérieures de deux experts qui ont été chassé des comités de contrôle nucléaire, parce qu'ils allaient contre le consensus unanime.

Kunihiko Shimazaki, ancien professeur de séismologie, membre d'un comité stratégique, dont les avis, mis en minorité dans le comité, n'ont pas été pris en compte dans les rapports du comité. Mr. Shimazaki

Mr. Fujiwara, concepteur de réacteurs, a été appelé pour expertiser un test de sécurité dans une centrale japonaise, qui n'est pas celle de Fukushima. A l'issue de son étude, il refuse de donner son accord au test. Il est alors sanctionné par son chef qui lui ordonne de corriger son rapport de façon à indiquer que le test est correct. Monsieur Fujiwara refuse de plier et son contrat de travail n'est pas renouvelé.

En citant ces deux experts, il faut reconnaître que Fackler échoue à rapporter des faits ponctuels, matériels, pouvant être à l'origine du désastre de Fukushima. On identifie cependant ici une caractéristique des organes de contrôle fonctionnant avec le mécanisme du consensus. Ces organes doivent se doter d'une institution capable d'éliminer tout expert produisant un avis allant contre le "consensus unanime" à partir du moment où ce "consensus unanime" a été établi et reconnu. C'est l'expérience de MM. Shimazaki et Fujiwara. Leurs opinions ne se rallaient pas au consensus unanime". Ils sont éliminés et leurs avis ne sont jamais pris en compte ni même publiés.

Mais Fackler cite Shigeaki Koga, un ancien directeur de l'organe de contrôle de l'énergie nucléaire au METI. Ce dernier accuse la collusion d'intérêts des bureaucrates contre le peuple. Chemin faisant Fackler identifie une autre caractéristique liée au "consensus unanime". Le consensus unanime s'établit lorsque les bureaucrates ont enfin identifié leurs intérêts communs et établis entre eux une collusion pour que tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Ce que démontre l'article de Fackler, c'est que le désastre de Fukushima est avant tout nécessaire. Le "consensus unanime" qui a conduit au désastre est même systématique, parce qu'il est inhérent au système de production mis en place par la civilisation contemporaine. Le désastre de Fukishima n'était pas évitable parce que les organes, qui étaient prévu pour l'empêcher, faisaient tout pour ne pas l'empêcher, avec la plus parfaite bonne foi. Bon d'accord, avec une bonne foi un peu obscurcie par de mauvaises raisons. Mais, quand "tout le monde" est d'accord, il n'est pas évident que l'esprit critique puisse fonctionner encore. Et là, le manque d'esprit critique contre le "consensus unanime" a conduit à un désastre nucléaire.

Mais Fackler réussit très bien à montrer le mécanisme menaçant de la formation d'un "consensus unanime". A coups d'intimidations, d'ordres comminatoires, de nominations convenables et d'éliminations clandestines.

La parenté avec le mécanisme destructeur de "consensus climatique"

C'est exactement de cette façon que s'est imposée l'escroquerie du réchauffement climatique d'origine anthropique. On ne compte plus les experts qui ont été éliminés parce qu'ils allaient à l'encontre du prétendu "consensus unanime" : Chris Landsea, Richard Lindzen, les français Marcel Leroux, Paul Reiter, Vincent Courtillot, les noms s'alignent de sorte que l'ordre règne en "climatie", comme il régnait, semble t'il, dans le nucléaire japonais.

On note un trait intéressant dans le cas par exemple de Vincent Courtillot. Au début de sa carrière, Vincent Courtillot le reconnaît lui-même, il adhérait au consensus unanime. c'est insidieusement que le doute sur l'objet du consensus unanime se fait jour en lui et qu'il découvre à la fin de sa carrière que l'origine anthropique du réchauffement climatique n'est pas établi et que même le réchauffement climatique pourrait n'avoir aucun sens. Il sera vigoureusement pourchassé par les "réchauffistes", accusé de toutes les faiblesses, moqué, insulté. Il ne faiblira pas. Le trait caractéristique du consensus unanime est, en réchauffisme comme à Fukushima d'éliminer les individus non conformistes, déviants. Vincent Courtillot après beaucoup d'autres en fera les frais.

Les forces qui contraignent au conformisme et au respect d'un projet imposé de manière bureaucratique sont bien entendu la reconnaissance des pairs, la carrière et le versement des budgets qui permettent à chaque expert d'exister. Si vous n'êtes plus reconnu par vos pairs, vos publications ne sont plus reçues par les comités de rédaction des revues d'édition. Si vous devez assurer une carrière aussi bien pour des raisons financières que parce que c'est le seul moyen pour poursuivre vos études, qu'importe quelques rares compromissions ! Si l'accord de votre budget de l'an prochain dépend de votre soumission au "consensus unanime", pourquoi se cabrer contre un avis que tout le monde admet ? Et de fait, la conformité à ce but ultime d'exister génère un "consensus unanime".

Quelle est la "toxicité" de l'avis "unanime" des experts en matière climatique ? On a vu que le consensus unanime dans les instance de contrôle du nucléaire japonais avait conduit à la catastrophe que l'on sait. Que peut-on prévoir comme défaillance du système climatique ? La défaillance produite par le consensus du réchauffement climatique d'origine anthropique est déjà immense. D'abord dans les domaines de l'énergie, des transports et de l'industrie. Mais, s'y ajoute aussi l'impréparation des populations à des vagues de froid intense. C'est déjà arrivé ces trois dernières années. Les administrations ne prévoient plus les fortes périodes de froid, parce que de telles périodes iraient "contre" le consensus unanime du réchauffement climatique ! Or, ces vagues de froid perturbent la distribution d'électricité et les transports. On ne compte plus les lignes de distribution électrique qui cassent sous le poids de la neige. On se souvient d'embouteillages monstres de files de citadins rentrant chez eux et piégés par une brusque chute de neige. Plus encore, les particuliers sont incités à renoncer à des investissements qui leur permettraient de mieux résister au froid. A quoi celà servirait-il en effet si nous sommes en "réchauffement climatique" ? Et on a les funestes investissements dans les prétendues "énergies nouvelles" ou encore dites "propres", le démantèlement irrationnel de l'industrie nucléaire dans certains Etats comme l'Allemagne et la méfiance élevée au rang de vertu citoyenne chez les autres.

Or, s'il est possible de constater certains faits de réchauffement en certains lieux, d'un certain degré, ce réchauffement n'est ni permanent, ni universel. Et, bien entendu, il n'a rien ou très peu à voir avec les émissions industrielles de gaz à prétendu effet de serre. On peut même faire l'hypothèse que la part anthropique d'un certain réchauffement climatique est produite par l'urbanisation. Les émissions de CO2 seraient très minoritaires pour obtenir le réchauffement mesuré. Non, ce réchauffement de pertes se voit par la différence de tenpératures entre les mesures de température dans les villes et celles dans les campagnes, en hiver notamment. C'est parce que le sol est de plus en plus cimenté, goudronné, recouvert de toits, souvent sombres, c'est parce que le chauffage des habitations dégage des pertes considérables dues au défaut d'isolement, que les zones urbaines présentent des températures en élévation depuis une cinquantaine d'années. Voilà l'hypothèse la plus sérieuse de l'origine anthropique d'un certain réchauffement climatique, avec toutes les exigences de cette notion floue.

Parmi les effets destructeurs du "consensus unanime" en climatologie, il faudrait compter aussi l'éducation des futurs chercheurs et scientifiques à la soumission totale à des principes idéologiques ennemis de la science la plus élémentaire. Le "consensus unanime" est un mécanisme sociologique qui n'a rien à voir avec l'esprit scientifique. De fait, de nombreux étudiants et jeunes chercheurs sont de plus en plus sujets à des engagements "militants" qui les conduisent à adopter des attitudes "scientifiques" conformistes dans de nombreux domaines qu'il n'est pas le lieu de décrire ni de critiquer ici.

Le processus toxique du consensus est général

Il est difficile de prétendre que le processus du "consensus" est général, parce qu'il faut qu'il se révèle par une certaine toxicité. Tant que l'ensemble des parties intéressées, tant que la société toute entière en retire un bénéfice, le consensus ne se voit pas vraiment. C'est quand sa toxicité est établie qu'il est dénonçable et parfois, mais pas toujours, dénoncé.

Nous avons deux exemples caractéristiques que nous limiterons à la France dans le domaine médical et dans le domaine pharmaceutique.

Il existe dans le domaine médical de nombreux champs en consensus. Et ces consensus ne sont pas nécessairement "mafieux", inavouables, fautifs. Ni même "criminels". Non, loin de là. Prenons le cas récent de l'entente entre les institutions et les psychanalyses sur le traitement de l'autisme. Il existe très clairement un consensus médical sur les traitements de la psychanalyse sur cette terrible maladie de l'autisme. Là aussi, les structures de contrôle sont entièrement dans le pouvoir des lobbies de la psychanalyse. Les autres théories, les autres pratiques qui découlent d'autres approches thérapeutiques ont été systématiquement pourchassées, interdites. Elles se pratiquent ... à l'étranger. Et entendez le mépris et l'assurance avec lequel un spécialiste de l'autisme français, même s'il n'est pas psychanalyste, prononce la phrase. Pour lui, elle est à la fois la preuve et le fait qui valident l'attitude consensuelle.

Le beau "consensus unanime" sur la qualité du traitement officiel de l'autisme en France a éclaté sous les coups de boutoir de centaines de parents exaspérés par l'innefficacité totale de la psychanlyse et de ses dérives dans le domaine du traitement de l'autisme. Culpabilisés, écartés, les parents d'enfants autistes ont fini par se rebeller. Aujourd'hui, le "consensus unanime" est encore en place. Mais, il est fissuré, déconsidéré. Il s'interroge. On ne sait réellement pas encore de quel côté il va s'effondrer. Hélas, il est à crandre qu'un autre consensus unanime prendra sa place et se muerra en retour en consensus toxique.

En pharmacie, l'Etat s'est réservé le monopôle de l'autorisation de mise sur le marché. Et ce monopôle le conduit non seulement à décider si un médicament peut ou non être mis à la "disposition" du public, mais aussi de dire à quelles personnes ce médicament est réservé. Comme l'Etat n'a aucune compétence native en matière pharmaceutique, il utilise une structure associant spécialistes du médicament et de la médecine, et bureaucrates dans des autorités qui délivrent les fameuses AMM. Et on retrouve la même entente dénoncée dans le cas de l'industrie nucléaire au Japon par sa part de responsabilité dans le désastre de Fukushima.

La même démarche toxique a été vue dans plusieurs affaires comme celle dite du "médiator". Une collusion entre les laboratoires pharmaceutiques, les universités et les fonctionnaires unis dans des autorités prétendument régulatrices du médicament et de la santé permet les choses les plus lamentables et dangereuses pour la santé publique. Là aussi, tout découle du "consensus unanime". Et ce "consensus unanime" mêle en trois partis à la fois les fonctionnaires d'Etat, les commerçants qui permettent de financer tout le monde et les spécialistes du médicament. Les spécialistes du médicament ont besoin des fonctionnaires pour recevoir les autorisations et des commerçants pour financer leurs recherches. Dans ces autorités, chacun a besoin des deux autres et est contraint par nécessité de s'entendre avec les deux autres partis.

La climatologie du "consensus unanime"

On n'a pas eu le loisir de souligner une forme insidieuse de constitution d'un "consensus unanime". C'est celui de la "vérité". Imaginez que, de deux choses, l'une soit fausse et l'autre soit nécessairement vraie. Le consensus sur le fait que la seconde est vraie est "unanime". Ainsi, si l'objet de consensus prétend à la "scientificité", le consensus sur cet objet est à terme "unanime". Et de ce fait, les consensualistes légitiment l'unanimité du consensus au fait qu'il est scientifique et que donc il est unanime. Bien entendu, ce n'est pas parce qu'il est unanime que le consensus est scientifique ! Mais, dit rapidement, çà passe souvent. Et c'est le cas du consensus unanime du réchauffement climatique.

Le problème vient de ce que le fait de science qui peut être "unanime" ne provient pas d'un processus démocratique, mais tout simplement de l'évidence à laquelle les gens naturellement épris de vérité se rallient. Et la scientificité du fait qu'une courbe de températures chronologiques monte ou descend est -relativement - une évidence. Mais, là où la chose devient délicate, c'est lorsque l'objet de mesure de la température est erronné, c'est lorsque la courbe a un comportement éminemment variable. Ainsi, en climatologie, la température globale n'est pas une température. C'est un index statistique sans aucune signification physique. De même, la tendance d'une courbe est elle aussi un autre index statistique, sans aucune validité scientifique dans le cas de la température globale.

Considérons un phénomène physique dont la loi d'évolution dans le temps t est de la forme a*t+ b*sin(w*t), a, b et w étant des constantes arbitraires. Une telle loi d'évolution est périodique, de période 2*π/w avec une tendance linéaire de pente a. Si a > 0, la tendance de la loi d'évolution est croissante, stable si a = 0 et décroissante si a < 0. Le drame de la climatologie, c'est que si vous jetez six cent points au hasard sur un plan et que vous choisissiez un repère avec un axe horizontal et un axe vertical arbitraires, vous avez le "droit" de tracer une courbe de "tendance", une droite des moindres carrés par exemple, qui permet de tracer la droite dont la distance à chaque point de la distribution est minimale. Pourquoi voulez-vous que cette droite soit la tendance d'un phénomène physique inconnu ? Il a été tiré au hasard ! Eh bien les climatologues réchauffistes le veulent ...

C'est la raison pour laquelle il "faut" construire un "consensus unanime" sur cette erreur. Sinon, il s'agit toujours d'une erreur. Mais, si vous éliminez les gens qui disent que c'est une erreur, vous n'aurez peut être pas une chose juste, mais vous aurez un "consensus unanime".

Il faut absolument susciter un consensus unanime. Pour que le consensus soit unanime, il faut d'abord identifier les gens pour lesquels l'objet du consensus est vital. Plusieurs auteurs ont déjà dénoncé l'intérêt des scientifiques. Mais, dans la "communauté" dans laquelle règne le "consensus unanime" de la climatologie se trouve une deuxième catégorie de gens, les "policy makers", une bizarre catégorie qui rassemble des fonctionnaires cherchant à faire carrière et de vieux scientifiques ayant recyclés leurs rhumatismes dans la gestion des laboratoires de recherche. L'intérêt de ces gens est que tout aille le plus mal possible, de sorte qu'ils puissent imposer n'importe quelle folie au reste de l'humanité. Une troisième catégorie, spéciale au milieu du réchauffement climatique, est peuplée de membres de partis de gauche et d'organisations non gouvernementales qui font leur fonds de commerce de la "conscientisation" du public. Leur lien avec les médias est institutionnel, de sorte qu'on trouve parmi eux de nombreux journalistes et autres gens de médias.

Les liens entre les trois catégories de la "communauté" du "consensus unanime" sont parfois si forts qu'ils estompent les catégories reconnues. Ce sont souvent des interpénétrations, des collusions. Ainsi, un grand nombre de scientifiques sont des activistes d'ONG citoyennes. Des scientifiques manipulent certains journalistes, ainsi que certains mails du Climate Gate l'ont révélé s'il en était besoin. Il en résulte que les avantages recherchés par chacun sont très facilement communs. Mais, il en est un que l'on ne note pas souvent. C'est l'intérêt recherché par les organisations écologistes. Elles ont toutes adhérées, on le sait, aux croyances de l'ultra-gauche socialiste et matérialiste, croyances auxquelles les écologistes ajoutent une haine féroce à toute la civilisation moderne qui nous a apporté la science, l'industrie, la santé, l'hygiène et le bien-être.

Dans la communauté du consensus climatique, les objectifs de décroissance économique et de suppression de populations sont deux des objectifs essentiels. La plupart des "réchauffistes" croient absolument que la Terre est incapable de nourrir les gens qui ne croient pas au "réchauffement climatique". Comme ces derniers produisent plus de CO2 que les autres, l'élimination de l'industrie productrice de CO2 conduira inéluctablement à une réduction de la population demandée par la faction écologiste des "réchauffistes". La réduction des émissions de gaz à effet de serre sont donc une arme redoutable de décroissance et partant, de réduction de la population mondiale, objectif ultime de l'écologie politique depuis Pol Pot.

Voilà dressés à grands traits les objectifs et les individus qui peuplent le "consensus unanime" de la climatologie. Tous se tiennent dans une sorte de conjuration informelle qui n'a pas besoin de sociétés secrètes, ni de rites d'initiation vaguement ésotériques et ridicules. Les croyances et une certaine volonté de nuire forment le substratum commun de ces gens-là.


Revue THOMAS (c) 2012