Judith Curry est un professeur de climatologie d'une université américaine. Elle est réchauffiste à l'origine, des elle est devenue fortement sceptiques un en découvrant les manoeuvres opérés par ses confrères lors des conférences internationales et les publications des articles scientifiques du domaine.

La publication du cinquième rapport par le GIEC est l'occasion pour elle de dire tout le mal qu'elle pense de cet organisme. Que sa critique principale réside en ce que, alors que des milliards ont été déposées dépensés, la climatologie majoritaire a été incapable de se corriger. L'auteur considère que le principal problème de la climatologie est celui de l'incertitude des théories et modélisations publiées depuis l'origine. Elle constate que rien n'a été faite de ce point de vue.

Elle note aussi que déjà à l'époque du quatrième rapport du GIEC, la revendication que la science à était définitivement établie était déjà présente partout. Il en est résulté mais une mise sous tutelle de l'action publique dans le but de réduire drastiquement les émissions de gaz carbonique. Cinq ans plus tard, alors que les prévisions du GIEC se révèlent fausses, le GIEC que se sentait assure la plupart de ses prédictions et assertions erronées. Elle note aussi que le pouvoir politique est maintenant systématiquement trompé par la communauté des réchauffistes.

Pour Mme Curry, que le problème du changement climatique a été défini de manière erronées conduisant à des stratégies économiques ne manquant leur objet. Elle note l'échec dramatique de la modélisations climatique incapable de s'adapter à la pause actuelle du réchauffement d'une part et à la variabilité régionale du climat.

Elle réclame la suppression du GIEC et le retour à l'autonomie de la recherche scientifique en matière de climatologie notamment à l'égard à des mouvements écologistes. Il y a peu d'espoir qu'elle soit entendu.